Une impression de parfum dans l'air.
Papier Arches cold pressed.
31 cm X 41 cm
12 1/8" X 16 1/8"
Cette aquarelle est le deuxième exemplaire de l'exercice sur les roses proposé par Fabio Cembranelli lors du stage.
Le premier essai a été une véritable catastrophe ! Trop de choses, trop de fond, trop, trop, trop...
Avec l'aide de Fabio, j'ai compris mes erreurs et j'ai refait l'exercice plus librement et plus simplement.
L'un plus beaux de l'autre, beaucoup de sentiments dans ce deux derniers oeuvres. Bravo!
RépondreSupprimerLo trovo uno dei tuoi più bei lavori. Questo gioco di acquae colori, così fluido è veramente affascinante. Elvi
RépondreSupprimerOnce again, I see Cembranelli and I definitely see you in this. It is fabulous! What a wonderful experiment!
RépondreSupprimerTrès vaporeux... très ... je ne peux m'empêcher de vouloir sentir...
RépondreSupprimerGros bisous
Très belles couleurs, vaporeuses!
RépondreSupprimerthe water colours are breathtakingly beautiful..i can keep seeing the beautiful pattens of water mixing with the colours and still depict the roses!
RépondreSupprimerUna acuarela muy delicada
RépondreSupprimerJane, Elvi, Blaga, Martine, Sylviane, M.R.Anand, Alvaro, merco à tous pour vos messages qui sont un plaisir à lire et qui m'encouragent ! Bises.
RépondreSupprimerThis is the perfect illustration for the Théophile Gautier poem (H. Berlioz, Les nuits d'été)
RépondreSupprimerLe spectre de la rose
Soulève ta paupière close
Qu’effleure un songe virginal.
Je suis le spectre d’une rose
Que tu portais hier au bal.
Tu me pris encor emperlée
Des pleurs d’argent de l’arrosoir,
Et parmi la fête étoilée
Tu me promenas tout le soir.
Ô toi, qui de ma mort fut cause,
Sans que tu puisses le chasser,
Toutes les nuits mon spectre rose
A ton chevet viendra danser.
Mais ne crains rien, je ne réclame
Ni messe ni De Profundis,
Ce léger parfum est mon âme
Et j’arrive du Paradis.
Mon destin fut digne d’envie,
Et pour avoir un sort si beau
Plus d’un aurait donné sa vie.
Car sur ton sein j’ai mon tombeau,
Et sur l’albâtre où je repose
Un poète avec un baiser
Écrivit : "Ci-gît une rose
Que tous les rois vont jalouser".
J'aime beaucoup cette composition et l'aspect contemporain qu'il s'en dégage.
RépondreSupprimerSuzanne, quelle beauté ce poème qui va si bien avec cette aquarelle. J'adore ! Merci beaucoup.
RépondreSupprimerIzys, merci et bises.
The perfume is so strong! Beautiful painting ... again, Olivia1
RépondreSupprimerHappy you smelt it Theresa ! Bises.
RépondreSupprimer